Envie de faire des maths pour se remettre à niveau, ne pas perdre le rythme ou prendre de l'avance ? Je te propose de t’aider à progresser, toi qui es collégien ou lycéen !
En résumé, vous découvrirez un jeune étudiant :
– matheux, étudiant en double-diplôme HEC-ENSAE ;
– attentif aux attentes et difficultés propres à chaque élève ;
– souriant et dynamique ;
– dévoué, investi et disponible ;
– impatient de transmettre sa passion pour les maths !
Je m’appelle Nathan, je suis un jeune étudiant ayant tout fraîchement intégré HEC Paris après une classe préparatoire ECS au lycée Louis-le-Grand, et je brûle d’envie de partager avec les élèves ma passion pour les mathématiques ! J’ai eu l’occasion de le faire auprès de mes camarades en difficulté durant mes études, et à présent j’ai envie de transmettre aux plus jeunes. Je suis passionné et très investi dans tout ce que j’entreprends, et j’ai hâte de vous aider à progresser !
=== Les points essentiels sur lesquels j’insiste ===
L’intuition — À mon sens, être à l’aise en mathématiques nécessite de développer une certaine intuition, ce à quoi l’enseignement au collège et au lycée n’accorde malheureusement pas assez d’intérêt. Je pense qu’il est important, avant même d’apprendre à l’élève à appliquer une méthode, de lui faire comprendre – dans la mesure du possible – pourquoi cette méthode fonctionne. C’est seulement ainsi qu’il pourra lui-même à la fois la réutiliser dans les exercices « types » et l’adapter dans les exercices plus difficiles. Cette intuition s’acquiert progressivement en faisant des exercices d’application assortis de remarques pertinentes, eux-mêmes indispensables à l’assimilation des méthodes de base. Puis, selon le niveau et la motivation de l’élève, il est ensuite possible d’aborder des exercices de niveaux de difficulté variés.
Un suivi individualisé — L’un des apports essentiels du cours particulier est la possibilité pour le professeur de cerner très précisément les zones qui restent trop flous pour l’élève et les types de questions qui lui posent un problème. C’est pourquoi, après avoir bien renforcé les points fragiles avec l’élève pendant les cours, je noterai ses difficultés pour proposer à l’élève des exercices ciblés, pour tout à la fois vérifier l’assimilation de ces points, les retravailler si nécessaire, et optimiser le temps de travail (car c’est autant de temps qui n’est pas gaspillé à insister sur les points que l’élève a, pour le coup, déjà bien compris !).
L’autonomie — Je pense aussi qu’un professeur particulier doit savoir se faire bien sûr présent – il est là pour ça ! –, mais aussi discret en laissant l’élève réfléchir seul sur les exercices, quitte à se tromper, car ce n’est qu’ainsi que l’élève et le professeur prennent conscience de ce qui « coince ». Au contraire, rien de plus inefficace qu’un prof qui fait tout à la place de l’élève et qui finalement ne saisit pas le point précis qui fait défaut à l’élève…
La disponibilité — Enfin, rien de plus décourageant pour un élève que d’être bloqué et de ne plus savoir quoi faire pour avancer. Pour éviter ce genre de situations et rester motivé, l’élève peut m’envoyer des messages ou m’appeler ponctuellement en dehors des cours pour résoudre des difficultés qui l’empêchent d’aller de l’avant.
Et mon petit plus : paradoxalement, ma jeunesse. Parfois, les professeurs ont intuité les choses depuis tellement longtemps qu’ils n’arrivent pas à comprendre pourquoi les élèves bloquent dessus. Moi, je faisais partie de ces mêmes élèves il n’y a pas si longtemps que ça, et j’ai pu moi-même buter sur plusieurs points durant mon cursus scolaire (pas si lointain que ça). Cette fraîcheur dans l’apprentissage des maths me confère une certaine facilité à comprendre ce qui peut bloquer un élève et à cerner réellement ses difficultés, même quand celui-ci a du mal à les exprimer.
À très vite ! :)
=== Mon parcours == =
J’ai obtenu en 2019 un Bac S, spécialité mathématiques, mention Très Bien, avec notamment un 20/20 à l’épreuve de mathématiques.
Je me suis ensuite orienté vers une classe préparatoire ECS (économique et commerciale, voie scientifique), qui prépare aux grandes écoles de commerce. J’ai été admis au lycée parisien Louis-le-Grand, réputé pour l’excellence de son enseignement et de ses élèves. En prépa ECS, les mathématiques occupent une place prépondérante et les exigences sont très élevées (avec 11 h de maths par semaine pendant les deux années !), notamment en algèbre, analyse et probabilités.
Enfin, j'ai intégré cet été le programme grande école de la prestigieuse grande école HEC Paris (École des hautes études commerciales de Paris), en obtenant 20 et 19, 8 aux épreuves écrites de mathématiques ! Depuis la rentrée, je suis également le double-diplôme que propose HEC avec l'ENSAE (École nationale de la statistique et de l'administration économique Paris), une école d'ingénieur.
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